Des parents d’enfants
décédés ou malades suite à l’injection contre la Covid-19 se
rassemblent pour la Vérité
8 NOVEMBRE 2021
« VERITY France » :
c’est le nom de l’association en train de se mettre en place,
initiée par les parents de Maxime, Mélanie et Sofia, tous trois
décédés brutalement après la vaccination contre la Covid-19.
D’autres proches de victimes sont en train de les rejoindre, comme
Marc Doyer qui était intervenu sur CNews pour parler de son épouse,
atteinte soudainement par la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Leur but :
obtenir des réponses à leurs questions, faire cesser l’omerta sur
les effets indésirables, et éviter à d’autres de vivre cette
douloureuse expérience.
Déni
et censure
M.
Véran semble croire fermement que les décès dus aux vaccins contre
la Covid-19 n’existent pas. « Il
n’y a pas, à ce stade, de cas de décès avéré imputable à la
vaccination »,
a-t-il déclaré le 15
octobre 2021 face
à la commission des lois de l’Assemblée nationale.
Il
n’en est pas de même pour tout le monde. Une page Facebook avait
été créée pour que puissent être collectés et relayés des
témoignages de victimes, ou de proches de victimes, suite à la
vaccination contre la Covid-19. Cette page en est à sa cinquième
version censurée, avec ses milliers de témoignages. À ce jour,
leur sixième page
Facebook est toujours accessible, ainsi que leur groupe Telegram pour
rester informé. Notre article concernant
la censure de Facebook au sujet des effets secondaires indésirables
a lui-même été bloqué par le réseau social.
Des
médias silencieux et peu respectueux
Sur
les plateaux télé, silence radio et déni, voire mépris et
condescendance, à l’égard des effets secondaires graves ou des
décès post-vaccins Covid. Pascal Praud a été le premier
sur CNews à
venir faire témoigner en direct le proche d’une victime : Marc
Doyer, le mari d’une femme ayant brutalement déclenché la maladie
neurologique de la vache folle juste après sa vaccination.
Dans
la plupart des articles et les rapports officiels, toujours le même
refrain : le lien entre le vaccin et certaines pathologies graves ou
les morts ne peut pas être prouvé. Libération a
osé poser timidement sur la table qu’« un
lien de cause à effet peut être interrogé »
pour les 1224 décès post-vaccination indiqués dans le point
de surveillance du
24 septembre 2021 de l’ANSM. Argument très vite balayé par le
suivant : « à
ce stade »,
rien n’a été « prouvé ».
Le journal a également relayé que les deux vaccins à ARN messager
Moderna et Pfizer n’auraient causé directement aucun décès, mais
pour les vaccins à adénovirus développés par AstraZeneca et
Janssen, ils soutiennent que « l’absence
de liens est moins évidente. »
Si
l’on peut admettre qu’il vaut mieux rester mesuré en n’imputant
pas tous les maux de la terre aux vaccins, que dire de ceux qui ne
leur attribuent aucune nocivité, qui minimisent ou relativisent
cette dernière ? Et puisque cette imputabilité peut être rarement
« prouvée »,
on pourrait aussi se poser la question inverse au nom du principe de
précaution : comment prouver qu’il n’y a pas de lien ? Et quoi
faire en attendant ? Laisser le choix de se faire vacciner ou non, ou
continuer de l’imposer ?
L’union
dans la réalité
C’est
le genre d’interrogations auxquelles les familles et personnes
membres de l’association VERITY
France,
persuadées du lien entre la mort ou la maladie de leur proche et
l’injection anti-Covid, vont tenter de trouver des réponses. Après
les parents de Maxime, Sofia et Mélanie,
c’est le papa de Lucas et la maman de Quentin,
deux jeunes victimes de myocardite, ainsi que Marc Doyer, l’invité
de CNews, qui ont rejoint l’association.
Sur
leur page Facebook,
on peut lire l’objectif de leur alliance : « Réunir
toutes les personnes de bonne volonté qui ont soif de vérité. ».
« Nous
sommes trop atomisés, il faut créer une synergie »,
nous explique Frédéric Beltra, le papa de Maxime
Beltra,
jeune homme décédé quelques heures après l’injection
anti-Covid. « Nous
allons interpeller les députés, les sénateurs, les ministres, leur
mettre le nez dedans ».
Le 27 octobre, VERITY
France publiait
:
La pandémie
actuelle fait vivre à nos familles des drames qui auraient pu être
évités, des choix ont été dictés par plusieurs facteurs :
politiques, sanitaires et économiques.
Une quête
de vérité s'impose à tous au regard des décisions qui ont été
prises.
Nous
invitons chacun, quel que soit son lieu de résidence, son métier
ou fonction à devenir les yeux du peuple, à nous communiquer des
éléments permettant de comprendre les incohérences qui ont mené
à ces drames. Nous contacter par message privé ou par mail
verityfrance@gmail.com
pour nous faire parvenir des informations.
Merci de
partager et de vous abonner à notre page.
Des
soupçons malgré lui
Frédéric
Beltra nous a confié qu’il ne s’était posé aucune question au
sujet de la vaccination, jusqu’à la mort de son fils. « Je
n’étais au courant de rien, je ne savais pas que des gens
manifestaient. Je travaillais quinze heures par jour, je payais mes
impôts et je n’ai jamais été anti-vaccin. Je ne suis ni farfelu,
ni hystérique. »
C’est lorsque qu’il a senti un empressement médiatique à
écarter tout lien entre la mort de son fils et le vaccin, quitte à
mentir pour certains, qu’il a commencé à s’interroger sur le
pourquoi d’un tel comportement. Alors que le journal n’avait même
pas contacté sa famille, que Maxime n’était pas enterré et
qu’aucune autopsie n’avait encore été faite, Midi
libre annonçait
que Maxime était décédé d’un oedème de Quincke. Ce que n’a
pu démontrer une récente autopsie, laquelle a décelé également
une myocardite, sans pouvoir attester non plus qu’elle a été la
cause de la mort.
Faire
sortir le loup du bois
Frédéric
Beltra est ferme : « Je
ne connais pas tous les tenants et aboutissants de cette injection
expérimentale massive, mais je veux savoir pourquoi, alors qu’il
est reconnu que les autres vaccins engendrent des décès, on est
actuellement face à un rouleau compresseur qui affirme qu’il n’y
en a aucun causé par ceux contre la Covid-19. Je veux comprendre
aussi pourquoi il peut exister une telle différence dans les
statistiques : pourquoi par exemple les effets secondaires en
Hollande sont beaucoup plus nombreux qu’en France, alors que la
population est bien moindre que chez nous. Et je veux comprendre s’il
y a eu allergie, et si oui, à quoi mon fils a été allergique,
pourquoi il n’a pas réagi comme d’habitude lors de
l’administration du traitement anti-allergique habituel par les
urgences. Tout le monde savait ici qu’il était allergique aux
cacahuètes. Lui-même était extrêmement vigilant, et personne ne
l’a vu ingérer quoi que ce soit qui en contenait.
Nous
avons perdu ce que vous avons de plus cher, nous voulons la vérité,
et nous ferons tout pour l’obtenir. Elle est de l’intérêt de
tous. Si nous pouvions éviter ne serait-ce qu’à une seule
personne de vivre ce que nous traversons, nous en serons très
heureux. »
Source : Nexus