dimanche 10 avril 2022

Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI

 


Publié le 30/03/2022

Auteur(s) : FranceSoir

Le 22 mars dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia ainsi que six autres personnes ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, mis en examen le 22 octobre dernier pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle". Elle était l'avocate de cet homme, connu pour ses appels insurrectionnels visant à renverser le gouvernement. Elle ressort de garde à vue le 24 mars et nous confie aujourd'hui son ressenti à travers un communiqué officiel, dans lequel elle souligne que "rien ne lui est reproché".

"Je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de témoin assisté", explique-t-elle.

Elle y raconte comment s'est déroulée l'interpellation ainsi que l'interrogatoire, en insistant sur les "conditions déplorables" dont nous faisait aussi part Sylvain Baron, Gilet jaune et auteur également arrêté ce jour-là. Puis, elle pose la question :

"N’était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m'emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu'il s'agissait, au final, uniquement d’obtenir des renseignements puisque rien ne m'est reproché ?"

L'avocate s'adresse aussi brièvement aux médias qui ont relaté son interpellation en parlant de terrorisme, d'extrémisme ou encore de complotisme, et assure : "Je n’en resterai pas là, car il s’agit de pure diffamation et d’intention de nuire, mais je vais solliciter un droit de réponse."

Ci-dessous, le communiqué complet de Me Virginie DE ARAUJO-RECCHIA, avocate au Barreau de Paris :

Plusieurs médias ont relaté ma mise en garde à vue du 22 mars 2022 dans les locaux de la DGSI qui s’est terminée le 24 mars 2022.

En effet, le 22 mars 2022 à 6h40 du matin, douze personnes, dont des policiers cagoulés des forces spéciales, sont entrées à six voitures dans notre propriété, puis ils ont violemment tambouriné à notre porte.

Nous avons bien entendu ouvert, cependant nous avons remarqué que tout le matériel était déjà prêt au sol, pour forcer notre porte.

Cette équipe composée de forces de l'ordre notamment de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (D.G.S.I.), de la représentante de Monsieur le Bâtonnier du Barreau de Paris, de Madame la Greffière et de deux juges d'instruction, a ensuite investi, sans coup férir, notre domicile et entamé une perquisition, dans chaque pièce, jusque dans la chambre de nos enfants, la voiture et le jardin.

Ils sont allés jusqu'à éplucher nos photographies de famille, nos relevés bancaires, la comptabilité de plusieurs années, tous les dossiers un par un, regardé dans nos livres etc. Ils ont saisi tout le matériel informatique et téléphonique que nous utilisons pour notre activité professionnelle.

Tout ceci s'est déroulé devant nos enfants en bas âge, ce qui n'est pas sans conséquence.

J’ai ensuite été transportée dans les locaux de la D.G.S.I. à Levallois Perret (92), après avoir découvert que l’on me suspectait de complicité de terrorisme.

Là, j’ai été détenue pendant 60h00 dans des conditions inhumaines. Je préfère ne pas en donner les détails afin de préserver ma dignité.

Je souhaite aujourd’hui vous faire part de mes observations.

A la sortie de ma garde à vue, je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de « témoin assisté ».

Je ne suis donc pas partie au dossier.

Tout ce qui me lie au dossier est le fait que je sois l’un des avocats d’une des personnes mises en cause.

N’était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m'emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu'il s'agissait au final uniquement d’obtenir des renseignements puisque

rien ne m'est reproché ?

Qu’en est-il de la présomption d’innocence ?

Il est à noter qu’il y a environ 800 000 gardes à vue par an en France, qui malgré leur caractère infamant, sont malheureusement devenues banales.

Une des raisons avancées pour expliquer l'augmentation des gardes à vue ces dernières années est notamment que le nombre de gardes à vue est un des indices de performance d'un commissariat, poussant ainsi ses fonctionnaires au zèle en la matière.

On observe aussi une augmentation sensible de leur nombre dans la période récente contre les avocats ou les journalistes. Faute de preuve sérieuse ou suffisante, la tendance étatique est donc à l’intimidation de ces deux professions, qui constituent pourtant l’un des fondements de toute Démocratie.

Il en est de même concernant certains médecins, qui subissent les mêmes méthodes d’intimidation, lorsqu’ils tentent d’alerter quant aux conséquences dommageables des mesures de gestion de la « crise » sanitaire ou des injections de thérapies géniques expérimentales.

Ils sont poursuivis devant l’Ordre des médecins et devant les tribunaux, lesquels sont contraints de prononcer la relaxe, faute de grief sérieux.

Puis, je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée pour les gilets jaunes qui ont été les premiers à subir la violence du pouvoir en place.

En ce qui me concerne, je suis très active, depuis des années, dans plusieurs dossiers relatifs aux droits fondamentaux, à la liberté d’expression et à la « crise » sanitaire.

J’ai ainsi rédigé un rapport intitulé « Dictature 2020, terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité », qui a notamment été publié en novembre 2020 par l’Observatoire du génocide.

Je représente actuellement plusieurs associations et personnes physiques qui ont déposé des plaintes s’appuyant sur des arguments consignés dans ce rapport.

Je suis aussi membre d’un collectif d’avocats et de juristes internationaux qui œuvre à lutter avec les instruments du droit contre les mesures liberticides qui ont été prises dans le cadre de la gestion de la crise dite « sanitaire », de façon concomitante dans différents pays du monde.

Je n’en dirai pas plus sur le dossier qui manifestement a servi de prétexte à ma garde à vue. D’abord, parce qu’une instruction est en cours. Ensuite, parce que je n’ai pas accès au dossier, dans la mesure où je ne suis ni « mise en examen » dans cette affaire, ni placée sous le statut de « témoin assisté », comme je l’ai indiqué. Enfin, en raison de la confidentialité de la relation avocat-client car je suis soumise au secret professionnel.

Concernant l’interrogatoire, que j’ai subi pendant une dizaine d’heures, je me bornerai à citer quelques-unes des questions qui m’ont été posées :

a. Êtes-vous patriote ?

b. Qu'est-ce que le terme complotiste ?

c. Que pensez-vous de la religion musulmane ?

d. Que pensez-vous de la religion juive ?

e. Que pensez-vous des antennes 5G ?

f. Que pensez-vous de la pédophilie?

g. Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ?

h. Pensez-vous que des ministres soient reliés aux réseaux pédophiles ?

i. Que pensez-vous d'Emmanuel Macron ?

j. Quelles sont les mesures qui vous amènent à dire qu'il s'agit de crimes contre l’humanité ?

k. Qu'est-ce que le nouvel ordre mondial ?

Chacun restera libre de se faire sa propre opinion.

L'enquêteur m'a demandé de lui exposer les grands axes de mon « idéologie ». Ce à quoi je lui ai répondu qu'il ne s'agissait pas d’idéologie mais de faits avérés et justifiés que je répertorie méticuleusement depuis deux ans.

Toutes les audiences de la Cour internationale d'opinion publique/Grand Jury notamment, ont permis d'entendre les témoignages de certains des plus grands experts mondiaux en matière scientifique et médicale, en psychopathologie et psychologie, en histoire, économie, géostratégie ainsi que des témoignages de victimes du présent et du passé.

J’ai d’ailleurs personnellement recueilli les témoignages de parents de victimes, soignants, pompiers français afin de les présenter au Grand Jury.

Il s’agit d’expertise, de professionnels, de témoins, de victimes. Il ne s’agit pas d’idéologie.

Le seul but étant ici la recherche de la vérité.

J’en conclus que cet interrogatoire m’aura, au moins, permis de porter à la connaissance des enquêteurs les arguments principaux des plaintes déposées durant cette « crise sanitaire » pour le compte de mes clients.

En voici la liste :

https://dar-avocats.com/actualites/

Certains médias ont fait état d’un « dossier terroriste » et, mon nom étant cité comme « avocate représentant diverses figures des milieux complotistes » ou encore de « groupuscules extrémistes », le caractère diffamatoire de cet amalgame n’aura échappé à personne.

Je n’en resterai pas là car il s’agit de pure diffamation et d’intention de nuire mais je vais solliciter un droit de réponse.

La tentative d’amalgame entre un avocat et l’un de ses clients n’a rien de nouveau. Certains semblent y échapper plus que d’autres. Le Garde des Sceaux actuel ne l’ignore pas, lui qui a défendu nombre de criminels, avérés cette fois, pendant sa carrière.

D’autres, qui prennent le risque d’affronter l’Etat et de s’opposer aux intérêts financiers de grands groupes internationaux (pharmaceutiques, financiers et de médias…), sont susceptibles d’être placés en garde à vue sans justification.

Cela ne m’empêchera pas de poursuivre mon combat pour la défense des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales.

Lors de cet événement, j’ai eu la chance d'être assistée par mes Confrères Me Maud MARIAN, Me Serge LEWISCH et Me Philippe AUTRIVE, Avocats au Barreau de Paris, tout au long de ma garde à vue et je les remercie de leur amitié confraternelle.

Depuis le début, le Barreau de Paris exerce sa vigilance pour garantir le secret professionnel, qui couvre mes activités.

A ce titre, Me Vincent NIORÉ, Vice-Bâtonnier du Barreau de Paris veille à protéger les principes de la profession. Nous lui faisons confiance étant donné que notre Confrère a dédié sa carrière à la défense des avocats.

Je remercie certains des enquêteurs de la D.G.S.I., qui ont eu, malgré tout, des gestes d’humanité à mon égard.

Je remercie également les Confrères et juristes qui m'ont soutenu dans l'ombre, notamment ceux de nos groupes national, européen et international, qui étaient en alerte maximale !

https://healthfreedomdefense.org/illegal-arrest-and-detaining-of-virginie-araujo-recchia/

Enfin, je remercie les milliers de personnes qui m'ont envoyé des messages d'affection et de soutien ainsi que toutes celles qui ont réalisé des vidéos afin de dénoncer cette injustice.

Cette solidarité, cette cohésion et ce cœur sont une grande force, c'est tout ce qu'ils n’ont pas et c'est ce que l'on ne pourra jamais nous retirer.

Me Virginie de Araujo-Recchia

Le 30 mars 2022


dimanche 3 avril 2022

Cabinets de conseil: le rapport accablant de la commission d'enquête du Sénat

 

Cabinets de conseil: le rapport accablant de la commission d'enquête du Sénat

 Publié le 17/03/2022 à 16:46



"Un phénomène tentaculaire et opaque" selon la Commission d’enquête du Sénat

F. Froger / Z9, pour FranceSoir

Le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur l’emprise croissante des cabinets de conseil privés sur le déploiement des missions de l’État français a été rendu public ce 17 mars, à l’issue de quatre mois d’investigations et d’auditions. Son titre annonce la couleur : « Un phénomène tentaculaire : l'influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Les sénateurs y soulignent « l’influence avérée » des cabinets de conseil sur les décisions publiques, le coût exorbitant des prestations pour des résultats parfois jugés médiocres, ou encore le « pantouflage » bien réel et les risques de conflits d’intérêts. Face à ce phénomène qui s’exerce sur « des pans entiers des politiques publiques », ce rapport « soulève deux principales questions : notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés, d’une part, et la bonne utilisation des deniers publics, d’autre part », écrivent le président de la commission, Arnaud Bazin (LR) et la rapporteure Éliane Assassi (CRCE). Le cabinet de conseil américain McKinsey est également accusé d’évasion fiscale alors qu’il avait prétendu le contraire sous serment lors d’une précédente audition en janvier.
 

Le point de départ de cette enquête sénatoriale, réalisée à l'initiative du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE), a été l’appel à des consultants privés dans le cadre de la gestion de la crise Covid à partir de 2020. En réalité, il ne s’agissait que de la « face émergée de l’iceberg ». Selon le rapport, « les cabinets de conseil sont intervenus sur la plupart des grandes réformes du quinquennat, renforçant ainsi leur place dans la décision publique ». Si cette pratique n’a pas démarré avec la présidence d’Emmanuel Macron, les sénateurs notent qu’elle s’est nettement accélérée sous sa présidence au point d’évoquer un recours « massif » et « croissant ».

Voir aussi : "Les Infiltrés" : l’ouvrage qui expose au grand jour la connivence entre État et cabinets de conseil

S’il est désormais de notoriété publique que des consultants privés ont été sollicités sur les aspects centraux de la gestion crise du Covid, le rapport révèle qu’il est également fait appel à eux dans une très grande variété de domaines, y compris quand il faut préparer « une interview sur BFM TV ou une audition au Sénat ».

Plus d'un milliard d'euros de prestations de conseil pour la seule année 2021

Le recours aux consultants a particulièrement augmenté entre 2018 et 2021, pour atteindre plus d'un milliard d'euros de dépenses publiques l'an dernier, financées avec les impôts des Français. La rapporteure n’hésite pas à reprendre l’expression auparavant utilisée par Emmanuel Macron sur les prestations sociales : un « pognon de dingue ».

En outre, le rapport précise qu’il ne s’agit que d’une estimation minimale, la commission d’enquête ayant seulement interrogé les opérateurs publics les plus importants comme Pôle Emploi et la Caisse des Dépôts et consignations. Pour elle, l’objectif de réduction des dépenses de 15 % pour les prestations de conseil est « peu ambitieux ». Dans ses recommandations, elle demande que soit publiée chaque année la liste des prestations de conseil commandées par l’État et ses opérateurs.

Une qualité de prestation remise en cause

Le rapport souligne que les livrables, à savoir les documents produits par les cabinets dans le cadre de leurs missions, sont « de qualité inégale ». Il est fait référence à l’insatisfaction de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) sur des travaux de McKinsey qui visaient à accompagner la stratégie pour la mise en place du service public des pensions alimentaires en 2019. Dans son évaluation, la DITP déplore « un manque de culture juridique et plus largement du secteur public » ou encore la « juniorité » de certains consultants « pas au niveau », dont il a fallu demander le remplacement. C’est pourquoi le Sénat estime qu’une évaluation devrait être conduite systématiquement, avec des pénalités à la clé si les résultats ne sont pas concluants.

Par ailleurs, les sénateurs épinglent l’absence de « suite tangible » de certaines prestations. On repense à l’exemple très médiatisé de cette audition du 18 janvier au cours de laquelle un des directeurs associés du cabinet de conseil McKinsey, Karim Tadjeddine, a eu bien des difficultés à justifier un contrat de 496 800 euros sur l’évaluation des « évolutions du métier d’enseignant ». « Il n’est pas possible de déterminer les conséquences directes » de cette prestation, selon le ministère cité par le rapport sénatorial.

Voir aussi : McKinsey au Sénat : les conseillers peinent à répondre aux questions de la Commission

Par ailleurs, McKinsey, qui s’était aussi retrouvé début 2021 au cœur d’une polémique quand son implication dans la stratégie sanitaire du gouvernement avait éclaté au grand jour, est aussi accusé d’évasion fiscale par les sénateurs. La société n’a payé aucun impôt pendant dix ans, selon les informations obtenues par la commission d’enquête auprès de l’administration fiscale. Une révélation d’autant plus embarrassante pour le géant américain au regard de la déclaration de Karim Tadjeddine lors de son audition par les sénateurs, le 18 janvier : « Je le dis très nettement : nous payons l’impôt sur les sociétés en France » témoignait-il… sous serment. C’est pourquoi les sénateurs ont saisi le procureur sur le cas de M. Tadjeddine. Le faux témoignage devant une commission d’enquête est passible de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

Le politique publique sous influence d’entreprises privées

Dans son rapport, la commission sénatoriale insiste particulièrement sur « l’influence avérée des cabinets de conseil sur la prise de décision » des ministères. « Certaines de leurs publications, qui sont particulièrement nombreuses en période électorale, s’apparentent même à des programmes politiques », relève-t-elle.

Par ailleurs, la fusion entre administration publique et cabinets de conseil privés est pointée du doigt. Par exemple, des consultants disposent d’une adresse électronique avec le nom de domaine du ministère et des documents sont parfois rédigés « sous le sceau de l’administration », comme a justement pu le faire McKinsey au ministère de la Santé au cours de la crise du Covid. « Cette méthode de travail renforce l’opacité des prestations de conseil car elle ne permet pas de distinguer l’apport des consultants, d’une part, et celui de l’administration, d’autre part », estiment les sénateurs.

La Commission alerte sur le « pantouflage » et les conflits d’intérêts

S’il existe déjà un cadre déontologique, « il faut néanmoins redoubler de vigilance en raison de l’influence que les cabinets de conseil peuvent exercer sur la décision publique, en particulier pour le conseil en stratégie », plaide le rapport.

Pour éviter de potentiels conflits d’intérêts, bien réels lorsque des consultants conseillent des pouvoirs publics et des acteurs privés, les sénateurs recommandent d’imposer une déclaration d’intérêts en vue de prévenir tout incident en amont si bien qu’un manquement à cette obligation serait sanctionné par une exclusion des marchés publics.

Dans le même esprit, le document met aussi l’accent sur le « pantouflage », les allers et retours des hauts fonctionnaires entre le secteur public et le secteur privé qui se traduisent par le recrutement d’anciens responsables publics dans les équipes de ces cabinets de conseil.

Plusieurs responsables politiques se sont rapidement emparés de ce rapport sénatorial. Estimant qu'Emmanuel Macron ne pouvait pas ignorer que McKinsey se rendait coupable d'évasion fiscale, la candidate LR, accusée de prise illégale d'intérêts dans l'affaire Alstom, a estimé que le président devait « rendre des comptes ».

Valérie Pécresse tweet

Gilbert Collard, porte-parole du parti Reconquête, a appelé à enfin « faire la lumière sur tous ces cabinets qui dirigent indirectement la France et dont on doit se passer ! ». Le président du Parti communiste français, Fabien Roussel, a, lui, dénoncé un scandale, jugeant que les cabinets privés ne se sont jamais « autant gavés » que depuis l'élection d'Emmanuel Macron.

L'avocat Fabrice Di Vizio a lui annoncé qu'il déposait une plainte contre Amélie de Montchalin : 

Fabrice Di Vizio tweet

Le rapport, adopté à l’unanimité des membres de la commission le 16 mars, fera l’objet d’une proposition de loi « transpartisane ».

Auteur(s): FranceSoir





samedi 2 avril 2022

صحيفة: الولايات المتحدة تسعى لتأجيج الصراع الأوكراني من أجل السيطرة على أوروبا وإضعاف روسيا

 

كتبت صحيفة "غلوبال تايمز" أن واشنطن لا تريد تسوية سلمية للنزاع بأوكرانيا، وترفض تقديم ضمانات أمنية لأوكرانيا، فهي بحاجة لتأجيج النزاع هناك لتوسيع سيطرتها على أوروبا وإضعاف موسكو.

وبحسب الصحيفة الصينية، بعد جولة أخرى من المفاوضات بين روسيا وأوكرانيا في تركيا يوم الثلاثاء، أعلن الطرفان عن إحراز تقدم إيجابي. على وجه الخصوص، اعترفت أوكرانيا بإمكانية قبولها بوضع محايد دائم، في ظل وجود ضمانات دولية، وفي روسيا أعلنوا أنهم سيسحبون قواتهم من اتجاهات كييف وتشرنيغوف على الجبهة. ومع ذلك، وفقا لصحيفة، فإن مثل هذه الإشارات الإيجابية "من الواضح أنها ليست ما تريده الولايات المتحدة".

 من جهتها قالت كيت بيدينغفيلد، مديرة الاتصالات بالبيت الأبيض، في إفادة صحفية يوم الأربعاء ردا على سؤال: هل الولايات المتحدة مستعدة لأن تصبح ضامنا لأمن أوكرانيا أم لا؟، قالت "نحن في نقاش مستمر مع أوكرانيا حول السبل التي يمكننا من خلالها مساعدتهم على ضمان السيادة والأمن".

وتشير الصحيفة إلى أن مثل هذا الرد يعكس حقيقة أن واشنطن لا تريد التعايش السلمي بين موسكو وكييف. وفقا للي هايدونغ، الأستاذ بمعهد العلاقات الدولية في الجامعة الصينية للشؤون الخارجية، فإن الولايات المتحدة تنظر إلى أوكرانيا كأداة لزعزعة روسيا، لذا ستستمر واشنطن في دعم كييف.

بالإضافة إلى مسألة عدم تقديم الضمان الأمني لأوكرانيا​​، حثت الولايات المتحدة كييف أيضا على توخي الحذر بشأن تعهد روسيا بتقليص عمليتها العسكرية الخاصة. إذ أطلع الرئيس الأوكراني فلاديمير زيلينسكي نظيره الأمريكي جو بايدن على التقدم المحرز في مفاوضات السلام يوم الأربعاء في مكالمة هاتفية، وخلال هذه المكالمة، أخبر بايدن زيلينسكي أن الولايات المتحدة سترسل مساعدة إضافية لأوكرانيا بمبلغ 500 مليون دولار. وبعد هذه المكالمة نشر زيلينسكي رسالة فيديو ذكر فيها أن روسيا تسحب جزءًا من قواتها من اتجاه كييف، لأن دفاع القوات الأوكرانية أجبر روسيا على القيام بذلك.

وتعتقد الصحيفة أن الوضع ساهم في مزيد من التقارب بين أوكرانيا والولايات المتحدة، وستتصرف كييف في المستقبل بشكل أكثر انسجاما مع موقف واشنطن. يشار إلى ذلك أيضا من خلال رسالة الفيديو الخاصة بزيلينسكي، كما لاحظت الصحيفة، بدا الأمر كما لو أن الولايات المتحدة طلبت من أوكرانيا مواصلة الجمود في المفاوضات حتى يتمكن البيت الأبيض من مساعدة البلاد، وفي كييف وعدوا بالتوصل إلى شيء ما.

ووفقا لما قاله لي هايدونغ، فإن هناك سببا آخر لعدم رغبة الولايات المتحدة في حل الأزمة الروسية الأوكرانية قريبا، هو أنها تريد استخدامها للسيطرة بشكل فعال على أوروبا و"تهميش" روسيا. وبالنظر إلى الأحداث الأخيرة، حققت واشنطن بالفعل أهدافها جزئيا. على سبيل المثال، وقعت الولايات المتحدة والاتحاد الأوروبي صفقة لزيادة إمدادات الغاز الطبيعي الأمريكي المسال إلى أوروبا بشكل كبير، وهي مصممة لمساعدة المنطقة في تقليل الاعتماد على روسيا، ولكنها في الواقع تجعلها أكثر اعتمادا على الولايات المتحدة.

في 24 مارس، أكد حلف شمال الأطلسي أنه "سيواصل تقديم المزيد من الدعم السياسي والعملي لأوكرانيا"، و "الحلفاء يزيدون بشكل كبير إنفاقهم الدفاعي". إن تعزيز دور الناتو هو طريقة أخرى للولايات المتحدة لوضع أوروبا تحت سيطرتها بشكل دائم.

وخلصت الصحيفة إلى أن التحريض الأمريكي على مواصلة النزاع يتوافق مع الاحتياجات الاستراتيجية للولايات المتحدة. فإذا تمت تلبية دعوة أوكرانيا للحصول على ضمان أمني، فسيتم إنشاء نموذج جديد لضمان الأمن الدولي، مما يعني إضعاف دور الولايات المتحدة وحلف شمال الأطلسي.

وختمت الصحيفة بالقول: "الولايات المتحدة هي المدمر الرئيسي للأمن في كل أوروبا".

المصدر : روسيا اليوم


samedi 19 mars 2022

Probabilité de 98% d’un lien entre les vaccins Covid et la surmortalité

 Les effets secondaires très importants, les conséquences à long terme et les décès dus aux vaccins Covid-19 sont continuellement occultés par l'industrie pharmaceutique, la politique et les médias de masse. On ne parle pas non plus du fait que les lots de vaccins soient de qualité différente. Les scientifiques ont désormais établi un lien entre l'augmentation anormale des décès et le nombre de vaccins administrés. Le professeur Kuhbander, expert entre autres en méthodes statistiques, a découvert un lien très important entre les vaccins Covid et la surmortalité.

L'industrie pharmaceutique, la politique et les principaux médias continuent d’occulter les effets secondaires massifs, les conséquences à long terme et les décès dus aux vaccins Covid-19. Pourtant, à intervalles de plus en plus rapprochés, des informations effrayantes et choquantes, que les médias taisent avec véhémence, sont révélées au public.


Découvrez ici www.kla.tv/21665

Industrie pharmaceutique : Des chiffres truqués = des milliards encaissés

 Voici la présentation d’une méthode permettant à l'industrie pharmaceutique d'augmenter encore plus ses bénéfices. Des personnes en bonne santé sont transformées en malades par la manipulation des valeurs limites. Tout le monde peut être concerné. Voyez clair dans ce jeu !



Source www.kla.tv/21958

Pour accéder à une information neutre, privilégiez les médias indépendants

 Dans un monde où l'information guide les actions et les comportements, il est nécessaire pour chacun de chercher les sources fiables pour éviter d'être manipulé.

Les financiers de ce monde connaissent très bien la problématique c'est pour ceci qu'ils investissent dans les médias. Ce constat ne date pas d'aujourd'hui.

J'ai le sentiment profond que nous vivons une situation de monopole. La censure est monnaie courante.

J'ai trouvé quelques médias libres sans prétendre que tout ce qu'ils disent est vrai. Cependant, nous avons la garantie, au moins pour l'instant, qu'ils ne dépendent d'aucune domination qui aurait intérêt à les utiliser pour biaiser l'information.


Liste de sites français :

FranceSoir

Investig'Action

Nexus


Le site kla.tv traduit ses vidéos en français.


Si vous avez d'autres sites à me proposer, je suis preneur.


Remarque générale : ce que j'ai écrit relève tantôt de résultats de recherches et parfois de coïncidences. Je ne prétends nullement détenir la vérité, mais je crois que chacun a le droit et le devoir de l'approcher.

FAUT IL DÉTESTER LES RUSSES MICHEL MIDI AVEC JACQUES BAUD

 Ce qui se passe en Ukraine comme dans d'autres régions du monde est une catastrophe : guerre, réfugiés, morts, blessés

Les médias dans leur ensemble nous présentent ce qui se passe de cette manière : ce sont les méchants russes qui tuent les gentils ukrainiens.

Certains ont pris position et sont même partis aux front pour aider « la nation opprimée ».

Comme dans chaque situation que nous ne connaissons pas, dont nous ne maitrisons pas les tenants et aboutissants, il faut rester prudents, nous informer sur ce qui se passe réellement.

Ici Michel Midi interroge Jaques Baud (ancien de l'OTAN) sur l'histoire de l'Ukraine et sur ce qui se passe sur le terrain. Il nous est nécessaire de comprendre l'origine du conflit pour ne pas être manipulés.

Investig'Action est un média libre donc indépendant contrairement à la majorité des canaux bien connus.

samedi 12 mars 2022

Halte à la manipulation, ne vous faites pas avoir cette fois

Le 11 mars 2022, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a fait état ce vendredi d’un « rebond » de l’épidémie de Covid-19, mettant en exergue la nécessité pour les personnes fragiles de « continuer à se protéger ».

« Nous constatons actuellement un rebond, en France, dans les pays qui nous entourent, c’est-à-dire que le Covid-19 ne baisse plus, il augmente même », a dit le ministre lors d’un déplacement en Isère. « Au vu des derniers chiffres d’hier c’est 20 % d’augmentation », a-t-il précisé, alors que la Chine reconfine.

Vu sur le Parisien.


Et comme une mauvaise nouvelle est souvent suivie par une autre plus mauvaise. Au sujet de l’intérêt d’une quatrième dose : « Nous n’avons pas de retour pour l’instant des autorités scientifiques mais il pourrait paraître cohérent de l’ouvrir aux personnes fragiles. » Ce sera finalement chose faite, dès ce lundi 14 mars, nous annonce le Premier ministre, Jean Castex, qui suit les avis du conseil scientifique et d’Alain Fischer, le « Monsieur Vaccin » du gouvernement.

Les « plus de 80 ans » vont pouvoir prendre à nouveau rendez-vous : ils représentent 4,1 millions de Français et parmi eux 3,1 millions ont déjà eu trois doses. Mais tous ne seront pas éligibles puisqu’il faut attendre trois mois après la dernière injection. Cette nouvelle campagne sera aussi élargie aux « immunodéprimés qui n’y étaient pas éligibles jusqu’à présent », détaille Jean Castex.

Vu sur le Parisien.


Ils font bien semblant de « suivre les avis du conseil scientifique », mais en réalité, les commandes sont déjà en cours !

Nouvel Observateur : Contactée par CheckNews, la Direction générale de la Santé (DGS) dément. «Il n’y a pas d’interruption des livraisons Pfizer entre le mois de février et le mois de mai, assure-t-elle. Nous attendons 11,9 millions de doses pour le mois de février, 12,7 millions pour le mois de mars et 11,6 millions par mois entre avril et juin.» En vertu d’un contrat signée par l’Union européenne au nom des États membres, et portant sur 1,8 milliard de doses pour les années 2022 et 2023, de nouvelles livraisons devraient suivre dès le mois de juillet.


Souvenez vous des mensonges de ce gouverne-ment :

  • le port du masque ne sert à rien, quelques mois plus tard, il devient obligatoire avec une amende aux récalcitrants !

  • Olivier Véran : Je suis contre le pass sanitaire !


Souvenez-vous aussi que le vaccin Pfizer-BioNtech protégeait à 95% de la contamination et il ne fallait que 2 doses pour être protégé. Finalement, les vaccinés tombent malades ! Il fallait ajouter une troisième dose qu'ils ont appelée « Booster », plus on vaccine plus les gens tombent malades !

C'est toujours la même stratégie : on commence par les personnes âgées et les plus vulnérables, puis on descend en tranche d'âge jusqu'aux plus petits qui ne risquent rien du covid, mais le risque de tomber malade suite à injection est beaucoup plus fort.

Souvenez-vous de tous ceux qui sont malades de myocardites, péricardites, thromboses, etc.

Souvenez-vous de ces sportifs tombés dans les stades !

Souvenez-vous de ceux qui sont morts suite à injection !


Ceux qui ont accepté les 2 doses et pas la troisième se sont vus désactivés comme on désactive une machine ! On vivra le même scénario avec la quatrième, cinquième ? Etc.

Rendez-vous compte, on est en 2019 et il s'agit de combattre le Covid 19. un virus qui dure depuis 3 ans ; quelle longévité ! Du jamais vu !

Souvenez-vous, souvenez-vous...


Le plus important : dans une démocratie, le peuple est souverain. L'exécutif doit être au service du peuple et doit lui rendre des comptes. Les peuples sont réprimandés dans les dictatures. Faisons-nous respecter. Une manière simple de le faire : plus aucune injection acceptée dans nos corps. Tous ces manipulateurs tomberont d'office !



Charte de Biderman de la torture psychologique

 La charte de Biderman de la torture psychologique, également appelé principes de Biderman, est un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman en 1957 pour illustrer les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre de Corée. Ce tableau répertorie huit principes généraux et chronologiques de torture qui peuvent briser psychologiquement un individu.

Malgré les origines de la charte à l'époque de la guerre froide, l'organisation non gouvernementale Amnesty International a déclaré que ce tableau contient les « outils universels de la torture et de la coercition ». Au début des années 2000, ce tableau a été utilisé par des interrogateurs américains au camp de détention de Guantanamo Bay à Cuba.

La charte de Biderman a été utilisée par des interrogateurs américains pour administrer le camp de détention de Guantanamo Bay au début des années 2000.



Méthodes de coercition

Le tableau comprend les méthodes de coercition suivantes :

  1. isoler la victime : priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister. Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité ;

  2. monopoliser la perception : fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection. Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité. Punir toutes les actions d'insoumission ;

  3. induire l'épuisement : affaiblir la volonté de résistance, qu'elle soit physique ou mentale ;

  4. présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir ;

  5. montrer des indulgences occasionnelles : procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher également ainsi à l’accoutumance aux privations imposées ;

  6. démontrer la toute-puissance du pouvoir : suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l'autorité ;

  7. dégrader la victime : faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale ;

  8. exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l'autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.


Source : wikipédia

Cette même charte est utilisée actuellement. Nous donnerons l'exemple de la gestion du Covid qui paraît comme un début pour asservir les populations. Regardez à ce propos la vidéo de Jean Dominique Michel. Le contrat social chinois inspire beaucoup de pays dont l'Europe qui se dit démocratique.

Le gouvernement australien a adopté en janvier2016 la loi coercitive « No jab, no play!; No jab, no pay » (« Pas de piqûre, pas de jeu ; Pas de piqûre, pas d’argent ») et a notamment supprimé une partie des allocations familiales aux parents dont les enfants ne sont pas vaccinés


Toutes les mesures sont planifiées. On ne citera ici que l'identité numérique et l'espace numérique de santé où tout sera centralisé et l'individu verra sa liberté réduite jusqu'à disparition.



jeudi 3 mars 2022

Révélation explosive : en 5 ans, Big Pharma a offert 818 millions d’euros à des médecins influenceurs en France

 Entre 2014 et 2019, Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médias influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février 



Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.

En effet, d’après cette étude relayée par le média Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits. Les montants débloqués sont faramineux. Selon le Quotidien du Médecin, entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature. D’après la même source, 548 médecins influenceurs sont en France.

Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature. En moyenne, un médecin influenceur recevait l’équivalent de 3 700 euros de cadeaux par an. Et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré”, révèle la source.

Dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a eu accès à l’étude en question dans sa version originale et intégrale. Et les chiffres qui y sont dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 millions d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros.

L’étude révèle également qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3 700 euros de cadeau par an pour chaque KOL. En pleine crise sanitaire, cette étude risque de provoquer un séisme dans le monde médiatique.

Pour lire l’étude dans sa version originale, cliquez sur le lien suivant : KOL 

Source : Le courrier du soir

mercredi 2 mars 2022

L'association Bonsens.org initie une procédure d’urgence judiciaire sur les masques

 

Assignation en Référé

Compte tenu de l’éventuel danger que représentent les masques, actuellement vendus sans étiquette de composition, notamment pour les enfants qui les portent depuis plus d’un an et demi dans les classes et même dans les cours de récréation, alors qu’un rapport de l’A.N.S.E.S. nous apprend que certains masques contiennent des nanoparticules de graphène, produit toxique ayant la propriété physique de lacérer les cellules pulmonaires à l’inhalation, l’association BonSens.org a pris l’initiative de cette idée de référé (procédure d’urgence judiciaire) afin d’obliger les distributeurs à respecter la loi sur l’étiquetage des compositions des produits vendus.

Nous vous tiendrons informés du résultat de ce référé rapidement.

Cette procédure peut être dupliquée partout en France par vos avocats.

Télécharger le texte du référé ici




dimanche 27 février 2022

Vaccination

La journaliste belge Senta Depuydt a rédigé deux articles en mars 2019. on y trouve des informations sur la qualité des vaccins. On y apprend par exemple qu'ils contiennent de l'ADN humaine, de l'ADN des souris, des particules chimiques et métalliques.

Des vaccins ont été utilisés pour rendre les femmes stériles.

Globalement, on comprend mieux comment les laboratoires dominent le monde.

Tout ceci est en accès libre sur Nexus.

Des parents d’enfants décédés ou malades suite à l’injection contre la Covid-19 se rassemblent pour la Vérité

Des parents d’enfants décédés ou malades suite à l’injection contre la Covid-19 se rassemblent pour la Vérité

8 NOVEMBRE 2021

« VERITY France » : c’est le nom de l’association en train de se mettre en place, initiée par les parents de Maxime, Mélanie et Sofia, tous trois décédés brutalement après la vaccination contre la Covid-19. D’autres proches de victimes sont en train de les rejoindre, comme Marc Doyer qui était intervenu sur CNews pour parler de son épouse, atteinte soudainement par la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Leur but : obtenir des réponses à leurs questions, faire cesser l’omerta sur les effets indésirables, et éviter à d’autres de vivre cette douloureuse expérience.


Déni et censure

M. Véran semble croire fermement que les décès dus aux vaccins contre la Covid-19 n’existent pas. « Il n’y a pas, à ce stade, de cas de décès avéré imputable à la vaccination », a-t-il déclaré le 15 octobre 2021 face à la commission des lois de l’Assemblée nationale.

Il n’en est pas de même pour tout le monde. Une page Facebook avait été créée pour que puissent être collectés et relayés des témoignages de victimes, ou de proches de victimes, suite à la vaccination contre la Covid-19. Cette page en est à sa cinquième version censurée, avec ses milliers de témoignages. À ce jour, leur sixième page Facebook est toujours accessible, ainsi que leur groupe Telegram pour rester informé. Notre article concernant la censure de Facebook au sujet des effets secondaires indésirables a lui-même été bloqué par le réseau social.

Des médias silencieux et peu respectueux

Sur les plateaux télé, silence radio et déni, voire mépris et condescendance, à l’égard des effets secondaires graves ou des décès post-vaccins Covid. Pascal Praud a été le premier sur CNews à venir faire témoigner en direct le proche d’une victime : Marc Doyer, le mari d’une femme ayant brutalement déclenché la maladie neurologique de la vache folle juste après sa vaccination.

Dans la plupart des articles et les rapports officiels, toujours le même refrain : le lien entre le vaccin et certaines pathologies graves ou les morts ne peut pas être prouvé. Libération a osé poser timidement sur la table qu’« un lien de cause à effet peut être interrogé » pour les 1224 décès post-vaccination indiqués dans le point de surveillance du 24 septembre 2021 de l’ANSM. Argument très vite balayé par le suivant : « à ce stade », rien n’a été « prouvé ». Le journal a également relayé que les deux vaccins à ARN messager Moderna et Pfizer n’auraient causé directement aucun décès, mais pour les vaccins à adénovirus développés par AstraZeneca et Janssen, ils soutiennent que « l’absence de liens est moins évidente. »

Si l’on peut admettre qu’il vaut mieux rester mesuré en n’imputant pas tous les maux de la terre aux vaccins, que dire de ceux qui ne leur attribuent aucune nocivité, qui minimisent ou relativisent cette dernière ? Et puisque cette imputabilité peut être rarement « prouvée »,  on pourrait aussi se poser la question inverse au nom du principe de précaution : comment prouver qu’il n’y a pas de lien ? Et quoi faire en attendant ? Laisser le choix de se faire vacciner ou non, ou continuer de l’imposer ?

L’union dans la réalité

C’est le genre d’interrogations auxquelles les familles et personnes membres de l’association VERITY France, persuadées du lien entre la mort ou la maladie de leur proche et l’injection anti-Covid, vont tenter de trouver des réponses. Après les parents de Maxime, Sofia et Mélanie, c’est le papa de Lucas et la maman de Quentin, deux jeunes victimes de myocardite, ainsi que Marc Doyer, l’invité de CNews, qui ont rejoint l’association.

Sur leur page Facebook, on peut lire l’objectif de leur alliance : « Réunir toutes les personnes de bonne volonté qui ont soif de vérité. ». « Nous sommes trop atomisés, il faut créer une synergie », nous explique Frédéric Beltra, le papa de Maxime Beltra, jeune homme décédé quelques heures après l’injection anti-Covid. « Nous allons interpeller les députés, les sénateurs, les ministres, leur mettre le nez dedans ». Le 27 octobre, VERITY France publiait :

VERITY France

La pandémie actuelle fait vivre à nos familles des drames qui auraient pu être évités, des choix ont été dictés par plusieurs facteurs : politiques, sanitaires et économiques.

Une quête de vérité s'impose à tous au regard des décisions qui ont été prises.

Nous invitons chacun, quel que soit son lieu de résidence, son métier ou fonction à devenir les yeux du peuple, à nous communiquer des éléments permettant de comprendre les incohérences qui ont mené à ces drames. Nous contacter par message privé ou par mail verityfrance@gmail.com pour nous faire parvenir des informations.

Merci de partager et de vous abonner à notre page.

Des soupçons malgré lui

Frédéric Beltra nous a confié qu’il ne s’était posé aucune question au sujet de la vaccination, jusqu’à la mort de son fils. « Je n’étais au courant de rien, je ne savais pas que des gens manifestaient. Je travaillais quinze heures par jour, je payais mes impôts et je n’ai jamais été anti-vaccin. Je ne suis ni farfelu, ni hystérique. » C’est lorsque qu’il a senti un empressement médiatique à écarter tout lien entre la mort de son fils et le vaccin, quitte à mentir pour certains, qu’il a commencé à s’interroger sur le pourquoi d’un tel comportement. Alors que le journal n’avait même pas contacté sa famille, que Maxime n’était pas enterré et qu’aucune autopsie n’avait encore été faite, Midi libre annonçait que Maxime était décédé d’un oedème de Quincke. Ce que n’a pu démontrer une récente autopsie, laquelle a décelé également une myocardite, sans pouvoir attester non plus qu’elle a été la cause de la mort.

Faire sortir le loup du bois

Frédéric Beltra est ferme : « Je ne connais pas tous les tenants et aboutissants de cette injection expérimentale massive, mais je veux savoir pourquoi, alors qu’il est reconnu que les autres vaccins engendrent des décès, on est actuellement face à un rouleau compresseur qui affirme qu’il n’y en a aucun causé par ceux contre la Covid-19. Je veux comprendre aussi pourquoi il peut exister une telle différence dans les statistiques : pourquoi par exemple les effets secondaires en Hollande sont beaucoup plus nombreux qu’en France, alors que la population est bien moindre que chez nous. Et je veux comprendre s’il y a eu allergie, et si oui, à quoi mon fils a été allergique, pourquoi il n’a pas réagi comme d’habitude lors de l’administration du traitement anti-allergique habituel par les urgences. Tout le monde savait ici qu’il était allergique aux cacahuètes. Lui-même était extrêmement vigilant, et personne ne l’a vu ingérer quoi que ce soit qui en  contenait.
Nous avons perdu ce que vous avons de plus cher, nous voulons la vérité, et nous ferons tout pour l’obtenir. Elle est de l’intérêt de tous. Si nous pouvions éviter ne serait-ce qu’à une seule personne de vivre ce que nous traversons, nous en serons très heureux. 
»

Source : Nexus