Test
De Falsification
Je
vous suggère la prochaine fois que vous entrez en conflit avec
quelqu'un au sujet de l'Islam et qu'il affirme qu'il a la vérité et
que vous êtes dans l'erreur, vous laissez tous les autres arguments
de côté. Et demandez-lui, " y a-t-il un test de falsification
dans votre religion? Y a-t-il quelque chose dans votre religion qui
vous prouverait que vous êtes dans le faux si je peux vous prouver
qu'il existe – n’importe quoi? " Eh Bien, je peux vous
promettre que les gens n'auront rien - aucun test, aucune preuve,
rien! C'est parce qu'ils ne partent pas de l'idée qu'ils devraient
non seulement présenter ce qu'ils croient mais devraient également
offrir à d'autres une chance de leur montrer qu'ils ont tort.
Cependant, l'Islam fait cela.
Un
parfait exemple de la façon dont l'Islam fournit à l'homme une
chance de vérifier son authenticité et de " prouver qu'il
n'est pas vrai " apparaît au 4ème chapitre. Et honnêtement,
j'ai été très étonné quand j'ai découvert la
première
fois ce défi. Il énonce (Sourate An-Nisa, 4:82): Traduction
relative et rapprochée "Ne
méditent-ils donc pas sur le Coran? S'il provenait d'un autre
qu'Allah, ils y trouveraient certes maintes contradictions! "
(Sourate An-nissa 4:Verset 82)
C'est
un défi clair au non Musulman. Fondamentalement, il l'invite à
trouver une erreur. En fait, le sérieux et la difficulté du défi
mis de côté, la présentation d'un tel défi en premier lieu n'est
pas dans la nature humaine et est contradictoire avec la personnalité
de l'Homme. On ne passe pas un examen à l'école et après avoir
terminé, on écrit une note en fin d’épreuve destiné à
l'instructeur qui dit: " cet examen est parfait. Il n'y a aucune
erreur. Trouvez-en une si vous pouvez!". Justement on ne fait
pas cela. Le professeur ne fermerait pas les yeux jusqu'à ce qu'il
ait trouvé une erreur! Mais c'est de cette manière que le Coran
approche les gens.
Demandez
À Ceux Qui Ont La Connaissance
Une
autre attitude intéressante qu'on trouve dans le Coran est le
conseil répété au lecteur de vérifier l'information qui lui est
présentée. En effet, le Coran informe le lecteur au sujet de
différents faits (scientifiques ou événement historique.. .) et
puis incite le lecteur à vérifier l'assertion auprès des gens qui
ont la connaissance: " si vous voulez savoir plus à ce sujet,
ou si vous doutez de ce qui est dit, alors vous devriez demander à
ceux qui ont la connaissance. " C'est aussi une attitude très
surprenante. Il n'est pas habituel d'avoir un livre qui provient de
quelqu'un sans formation aucune en géographie, en botanique, en
biologie, etc., qui discute de ces sujets et puis conseille au
lecteur de demander aux savants s'il doute de ce qui est énoncé.
Pourtant
dans chaque âge il y a eu des musulmans qui ont suivi le conseil du
Coran et ont fait des découvertes étonnantes. Lorsqu'on examine le
travail de certains scientifiques musulmans du Moyen Age, on y trouve
plein de citations du Coran. Ces travaux font apparaître que leurs
auteurs ont fait telle recherche à tel endroit car le Coran les
avaient dirigés vers cette voie.
Par
exemple, le Coran mentionne l'origine de l'homme et puis indique au
lecteur, " recherchez cela! " Il suggère au lecteur où
regarder et incite l'homme à la recherche dans ce domaine. C'est le
genre de chose que les musulmans semblent aujourd'hui en grande
partie avoir abandonner - mais pas toujours.
Épuiser
les alternatives
La
vraie certitude au sujet de l'authenticité du Coran se manifeste par
la confiance qui est répandue dans la totalité du texte; et cette
confiance vient d'une approche différente - " épuisant les
alternatives. " Essentiellement, le Coran affirme : " ce
livre est une révélation divine; si vous ne croyez pas cela, alors
qu’est ce que c’est? " En d'autres termes, le lecteur est
défié de proposer une autre explication. Voici un livre fait
d’encre et de papier. D'où vient-il? Il proclame que c'est une
révélation divine; s’il ne l'est pas, alors quelle est sa source?
Le fait intéressant est que personne n'a encore proposé une
explication qui soit acceptable. En fait, toutes les alternatives ont
été épuisées.
Comme
cela a été bien établi par les non Musulmans, ces alternatives
sont fondamentalement réduites à deux écoles de pensée
mutuellement exclusives.
D'une
part, il existe un grand groupe de personnes qui ont examiné le
Coran pendant des siècles et qui soutiennent : " une chose dont
nous sommes certains a propos de cet homme, Mohammad, c’est qu’il
pensait qu’il était un prophète. Mais il était fou! " Ils
sont convaincus que Mohammad a été dupé d’une façon ou d’une
autre.
Puis
d'autre part, il y a un groupe qui prétend : " une chose dont
nous sommes certains est que cet homme, Mohammad était un menteur! "
Ironiquement, ces deux groupes ne semblent jamais pouvoir se mettre
d'accord sans se contredire.
En
fait, beaucoup de références à l'Islam soutiennent habituellement
les deux théories. Elles commencent d’abord par déclarer que
Mohammad était fou et finissent par dire qu’il était un menteur.
Le
scénario suivant est un bon exemple du genre de cercle vicieux où
tombent constamment les non musulmans. Si vous demandez à l’un
d'eux, " quel est l'origine du Coran? " Il vous répond
qu’il provient de l'esprit d'un homme qui était fou. Alors vous
lui demandez, " s'il venait de lui, alors où a-t-il obtenu
l'information qui s'y trouve? Certainement le Coran mentionne
beaucoup de choses dont les Arabes n'étaient pas au courant. "
Afin de répondre à l’argument que vous lui apportez, il change sa
position et dit, " bien, peut-être n'était-il pas fou.
Peut-être quelqu’un d’autre lui a apporté l'information. Alors
il a menti et a dit aux gens qu'il était un prophète. " A ce
moment vous devez lui demander : " si Mohammad était un
menteur, alors d'où a-t-il obtenu sa confiance? Pourquoi s'est-il
comporté comme s'il pensait vraiment qu’il était un prophète? "
Alors acculé au fond de l’impasse comme un chat, il se précipite
alors rapidement vers la première réponse qui lui vient à
l’esprit.
Oubliant
qu'il a déjà épuisé cette possibilité, il déclare, " bien,
peut-être n'était-il pas un menteur. Il était probablement fou et
pensait vraiment qu’il était prophète. Et voilà comment le
cercle est bouclé.
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